Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a réaffirmé avec une fermeté inébranlable l’attachement indéfectible de l’Algérie au respect scrupuleux des libertés syndicales et à la promotion d’un dialogue social fructueux et constructif. Lors de la réunion du Conseil des ministres qu’il a présidée d’une main de maître, le chef de l’État a insisté avec vigueur sur le fait que l’exercice du droit syndical, pierre angulaire des acquis sociaux, est pleinement garanti et consacré sur l’ensemble du territoire national. Les autorités supérieures du pays s’engagent solennellement à en assurer le strict respect, conformément aux principes fondamentaux de l’État de droit et de justice sociale.Le gouvernement aspire légitimement, selon les propos éclairés du Président, à l’émergence de syndicats représentatifs, influents et porteurs des véritables revendications des travailleurs. De tels interlocuteurs crédibles et incontournables sont les garants d’une amélioration pérenne et significative des conditions de travail et de l’environnement socioprofessionnel dans notre pays.
Leur rôle est primordial pour préserver la dignité et la quiétude de la classe laborieuse, fer de lance du développement national. Dans cette optique pleinement respectueuse des aspirations populaires, M. Tebboune a exhorté avec insistance les organisations syndicales à se réorganiser et à s’adapter aux nouvelles donnes, conformément au cadre légal et réglementaire récemment actualisé. Cette démarche pragmatique et ambitieuse vise à consolider les échanges fructueux et apaisés avec l’ensemble
des secteurs d’activité économique et sociale. Ainsi, les attentes légitimes et les revendications fondées des vaillants travailleurs algériens pourront être prises en compte dans leur plénitude, dans un esprit de concertation mutuellement bénéfique .
F.H.