Le ministère palestinien des Affaires étrangères a affirmé mercredi que l’échec de la communauté internationale ne se limite pas désormais seulement à l’incapacité de mettre fin à l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Ghaza, mais inclut également son impuissance à forcer l’occupant à lever les restrictions imposées aux citoyens en Cisjordanie occupée.
Dans un communiqué relayé par l’agence de presse Wafa, la diplomatie palestinienne a indiqué que l’acharnement de l’entité sioniste « ne se limite pas à l’agression militaire, mais aussi à sa volonté délibérée de transformer Ghaza, la Cisjordanie et El Qods-est en des lieux invivables ».
Dans ce sens, le ministère a rappelé que l’occupation imposait une longue série de punitions collectives à tous les civils palestiniens sans défense, citant les exécutions collectives, la démolition de maisons, la saisie de terres, la construction de nouvelles colonies, ainsi que l’installation de centaines de points de contrôle fixes et mobiles sur les principaux tronçons routiers et aux entrées de chaque ville, village et camp.
Il a souligné, à ce sujet, que « cette politique brutale s’inscrit dans le cadre de la punition collective contre les citoyens, du mépris de leur vie et du ciblage des enfants ».