Il est regrettable de constater que les autorités françaises semblent avoir une attitude discriminatoire envers les produits alimentaires algériens, en s’attaquant à leur commercialisation sur le territoire français sous des prétextes fallacieux.
L’interdiction récente de la pâte de dattes de la marque algérienne « La Prestigieuse », prétendument en raison de la présence d’ochratoxine, est une décision révoltante. Cette mesure semble être motivée par des considérations autres que la protection de la santé publique.Il convient de rappeler que les produits algériens, notamment les dattes et leurs dérivés, sont réputés pour leur qualité exceptionnelle et leur conformité aux normes les plus strictes en matière de sécurité alimentaire. Les accusations portées à l’encontre de cette pâte de dattes algérienne sont donc difficilement compréhensibles.
De plus, il est indéniable que les produits algériens connaissent un succès grandissant en France, en particulier auprès de la diaspora algérienne, qui apprécie leur authenticité et leur lien avec la riche culture culinaire de leur pays d’origine.
Cette popularité croissante semble déranger certains acteurs français, qui cherchent à entraver leur commercialisation par tous les moyens possibles.L’interdiction précédente de la pâte à tartiner au chocolat « El Mordjene », sous prétexte de non-conformité avec les réglementations européennes sur les produits laitiers, est une autre illustration flagrante de cette attitude hostile envers les produits algériens.Il est grand temps que les autorités françaises cessent cette discrimination injustifiée et respectent la libre circulation des produits algériens, qui répondent aux normes de qualité et de sécurité les plus élevées.
L’Algérie est une nation souveraine, et ses produits méritent d’être traités avec équité sur le marché français, sans être victimes de mesures protectionnistes déguisées.
Khemissi.M.