Lundi à La Haye, en marge de la 28e Conférence des États parties à la Convention sur les armes chimiques, l’Algérie a été saluée pour son rôle de premier plan dans le renforcement des capacités des États africains face aux défis liés à l’utilisation d’armes chimiques. Un événement parallèle a été organisé par l’Algérie en collaboration avec le Canada et le secrétariat technique de la Convention sur les armes chimiques (CAC). Cet événement a mis en lumière l’exercice à composants multiples « Chemex Africa 2023 », qui s’est tenu à Alger du 23 septembre au 5 octobre en coopération avec le secrétariat de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC). Les participants ont souligné l’importance de l’exercice régional « Chemex Africa 2023 » face aux nouveaux défis de l’OIAC, notamment le terrorisme chimique. Ils ont noté la nécessité de renforcer les capacités des premiers intervenants africains en cas d’incidents chimiques. L’Algérie a été reconnue comme jouant un rôle de premier plan dans le renforcement des capacités des États africains face aux défis liés à l’utilisation d’armes chimiques, en particulier dans le contexte du terrorisme chimique.
R.M.
