Dans un scénario peu crédible, Hichem Abboud et Anouar Malek, figures controversées et souvent critiquées pour leurs affiliations avec des forces hostiles à l’Algérie, ont tenté de susciter l’attention avec une histoire d’enlèvement fictif. Rejetés par leurs employeurs, ces « larbins » des ennemis de l’Algérie semblent avoir concocté une pièce ubuesque, dont l’absurdité est telle qu’elle ne peut convaincre personne, même si les relais de la propagande makhzenienne ont tenté de la présenter comme un scoop.Anouar Malek s’est auto-proclamé médiateur de cet « enlèvement », alors que la famille d’Abboud ignorait le complot, annonçant simplement la perte de contact avec lui. Les accusations portées contre les autorités algériennes n’ont été accompagnées d’aucune preuve tangible.Selon les rumeurs, Hichem Abboud aurait laissé tous ses téléphones chez lui et aurait collaboré avec ses « kidnappeurs », qui seraient en liaison avec la Direction générale des études et de la documentation (DGED) d’El Mansouri, et possiblement liés à certains cercles français hostiles à l’Algérie.
La prétendue « opération de sauvetage » par la garde civile espagnole serait alors apparue comme un coup de théâtre, sauvant Abboud d’une situation qu’il aurait lui-même orchestrée.Le récit d’Abboud
lui-même, lorsqu’il parle de son enlèvement, semble également trompeur et mal interprété. Il est difficile
de croire que des « ravisseurs » auraient retenu une « victime » pendant trois jours dans une embarcation rapide, connue localement sous le nom d’«Essaria», pour une traversée ne dépassant pas deux heures. L’ensemble de cette mise en scène semble s’inscrire dans une campagne orchestrée par la
propagande du régime makhzenien. Au-delà de la presse affiliée, certaines associations, telles que l’Association mondiale amazighe, apparaissent comme des instruments au service de déstabilisation de l’Algérie, renforçant les doutes sur la crédibilité de ce récit .
Fiction d’enlèvement: Les manigances de Hichem Abboudd émasquées
