Le ministre d’Etat, ministre de l’Energie, des Mines et des Energies renouvelables, Mohamed Arkab, prendra part ce dimanche au Koweït, à la 113e réunion du Conseil des ministres de l’Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (OPAEP), indique un communiqué du ministère.
La réunion examinera « nombre de points importants inscrits à l’ordre du jour, notamment l’adoption de la décision ministérielle relative au projet de restructuration et de développement des activités de l’organisation et l’approbation du budget de l’organisation pour l’exercice 2025 », précise le communiqué.
Parmi les points à l’ordre du jour, figurent également « l’examen des rapports élaborés par le Secrétariat général de l’organisation sur les évolutions mondiales dans le secteur du pétrole et du gaz et l’examen des projets lancés par l’organisation, en particulier ceux liés au renforcement des systèmes d’information et aux programmes de formation ».
Lors de la réunion, les participants discuteront aussi d’initiatives telles que la promotion de l’économie circulaire du carbone et examineront le rapport du Secrétaire général sur les activités de l’organisation en 2024, ainsi que la décision d’augmentation de la valeur du prix de la recherche scientifique pour encourager l’innovation et la recherche dans le domaine de l’énergie et du pétrole, selon le ministère. La réunion sera en outre « l’occasion de renforcer la coopération régionale arabe dans le secteur de l’énergie et du pétrole et de suivre les évolutions mondiales dans ce domaine vital », souligne le communiqué. L’Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole a été créée en tant qu’organisation arabe régionale à caractère international en vertu d’un accord signé à Beyrouth, le 9 janvier 1968, en vue de renforcer la coopération entre les Etats membres dans différentes activités économiques liées à l’industrie pétrolière. L’OPAEP s’emploie à mettre en place des mécanismes garantissant la protection des intérêts légitimes de ses membres, individuellement et collectivement, et à créer un climat favorable à l’investissement dans l’industrie pétrolière au sein de ses Etats membres, conclut le communiqué .
R.E.